Après un été assez riche en vols réels, me voici de retour aux vols virtuels.
Bien que le temps soit magnifique, et que les conditions de vol parfaites pour des vols réels, le manque de budget provisoire me pousse à revenir au virtuel, mais pas n'importe lequel.
Vous vous souvenez peut être, lorsque j'ai commencé mon Blog, je vous parlais des vols du vendredi soir en Polynésie. Les îles sont contrôlés et l'ambiance est parfaite. Assis devant mon ordinateur, je peux vous assurer qu'entre le réel et le virtuel, dans ces conditions, la différence n'est pas énorme. Bien sur les sensations ne sont pas les mêmes, mais il faut demander aux contrôleurs les autorisations nécessaires, on croise d'autres avions, et les paysages sont époustouflants. C'est une bonne façon de voler sans dépenser un sous.
À bord de mon Cessna 172, au parking de Maupiti, petite île de l'archipel, je demande les autorisations nécessaire à la tour, afin de m'envoler vers Bora Bora.
Bien que le temps soit magnifique, et que les conditions de vol parfaites pour des vols réels, le manque de budget provisoire me pousse à revenir au virtuel, mais pas n'importe lequel.
Vous vous souvenez peut être, lorsque j'ai commencé mon Blog, je vous parlais des vols du vendredi soir en Polynésie. Les îles sont contrôlés et l'ambiance est parfaite. Assis devant mon ordinateur, je peux vous assurer qu'entre le réel et le virtuel, dans ces conditions, la différence n'est pas énorme. Bien sur les sensations ne sont pas les mêmes, mais il faut demander aux contrôleurs les autorisations nécessaires, on croise d'autres avions, et les paysages sont époustouflants. C'est une bonne façon de voler sans dépenser un sous.
À bord de mon Cessna 172, au parking de Maupiti, petite île de l'archipel, je demande les autorisations nécessaire à la tour, afin de m'envoler vers Bora Bora.
Autorisation reçue, il est temps cette fois de passer à la "Checklist" et d'exécuter les différents points avant de s'enligner sur la piste.
Tout est OK.
Tour de Maupiti, on est prêt pour un décollage.
C-FRGA, Enlignez vous, autorisé pour décollage, les vents sont ....
Je pousse la manette des gaz à fond, et c'est parti. Regardez comme le paysage est magnifique. Même en virtuel, on s"y croirait.
Après quelques minutes de vol, la tour de Maupiti me demande d'entrer en contact avec la tour de Bora-Bora.
Bora tour, bonjour, C-FRGA, libéré par Maupiti, nous sommes à 15 nautiques en direction de vos installations.
C-FRGA, bonjour, vous êtes identifié radar, rappelez en vu des installations.
En ce qui concerne les communications, la réalité n'est pas mieux. Nous sommes vraiment plus dans un simple jeu.
Me voici en vu de la piste.
Bora Tour, nous sommes en vu des installations.
C-FRGA, autorisé pour une approche directe piste 11, rappelez en finale.
Nous voici en finale, et la tour nous donne les autorisations nécessaires.
Au décollage de Bora Bora.
Wow, tu dois avoir une bonne machine! :-)
RépondreSupprimerÇa doit être intéressant avec cet ATC "réel". Ça donne une autre dimension que la version autmatisé de FS.
les vols contrôlés sous FS n'ont rien a voir avec les vols libres de base sur FS.
RépondreSupprimerQuand tu commences à être à l'aise avec ton avion, c'est l'étape suivante.. les vols en réseau contrôlés. Ensuite, il reste le réel
:)
Quand à ma machine, sans être une bombe, j'ai une bonne carte vidéo surtout.
Le prochain vol dans ce petit paradis pourrait aussi être en boeing 737... :)
RépondreSupprimerSalutations JJ :)
pfffff ... moi aussi je veux y aller à Bora Bora :P
RépondreSupprimerDan
Pour le 737.. la piste est un peu courte, mais on peut toujours y faire un passage à basse haltitude...
RépondreSupprimerDan, Ok, la prochaine fois je t'emmene dans mon cockpit. :)