Le GPS - Garmin 530

Maintenant qu'une petite partie de la programmation est complétée, (il en reste encore énormément à faire), il faut que je travaille sur le GPS. En effet, étant donné qu'il contrôle entre autres , les fréquences radios et navigation, si je veux commencer à voler un peu et à tester le tout, je n'ai d'autres choix que de finaliser cette partie.
Ma préférence s'est arrêtée depuis longtemps sur le Garmin 530. Pourquoi ? Après avoir fait plusieurs recherches, je suis tombé sur ce modèle disponible gratuitement sur FLIGHTSIM en recherchant "fsgar530.zip". En effet, FS AVIONICS qui le développait à fait faillite, et le produit est maintenant libre de tout droit. Bien sur, cela signifie également que le support et les mises à jour ne sont plus disponibles, mais on a rien sans rien. Commençons par ce modèle. L'avenir me dira si j'ai bien fait ou non !

Ce n'est pas seulement pour cette raison que mon choix c'est arrêté sur ce produit. Surtout, parce qu'il est fonctionnel sur un PC autre que celui qui exécute FS, avec FSUIPC. C'est exactement mon cas. Je voulais un GPS qui serait sur un ordinateur déporté et qui travaillerait avec FS via WideFS et FSUIPC.
Quant aux contrôles du GPS, j'ai 2 possibilités. Programmer chacun des boutons du GPS par une touche de clavier, ou encore dans FSUIPC en créant un joystick virtuel.
L'attribution d'une commande à l'aide une touche de clavier étant très bien faite avec ce modèle de GPS, mon choix s'est arrêté sur cette option. De plus, cela me fait économiser des entrées de la MasterCard. J'ai donc cannibalisé un clavier USB, afin de récupérer l'encodeur, et de m'en servir pour contrôler le GPS.

Il me suffira donc de relier chacun des boutons à l'encodeur, et d'attribuer la touche à la commande. Ce fut un travail long mais plaisant. En effet, une fois le clavier retiré, et l'encodeur mis de côté, il faut comprendre le fonctionnement de celui-ci, afin de savoir quelle touche est actionnée au contact de tel fil avec tel autre.
Le problème que je rencontrais, et qui m'a pris bien du temps à résoudre, était la façon de commander un bouton rotatif double avec un encodeur clavier. En effet, le GPS à 2 boutons rotatifs avec poussoir de surcroît ! Je voulais aussi respecter les véritables dimensions du GPS. Et puis un jour, je me suis levé avec une idée ... qu'il me fallait mettre en pratique avant de crier victoire. J'avais trouvé dans un magasin 1 potentiomètre double à un prix dérisoire. Ne sachant pas trop si je pourrais l'utiliser, je l'achetais tout de même. Puis je décidais de le démonter et de voir ce que je pourrais en faire. À l'aide de micro interrupteurs, je trouvais enfin la solution.

Voici le matériel


Le potentiomètre une fois démonté, je ne gardais que les tiges.

En plaçant le micro interrupteur à un endroit stratégique, le fait de tourner le potentiomètre (ou du moins la tige) la partie plastique actionne l'interrupteur.... Excellent.
Pour le bouton poussoir, il suffit de coller un micro interrupteur sur le dos de la tige.
Bien, l'idée semble bonne. Reste à coller tout cela, et à tester le tout.

Voici de dos, à quoi cela ressemble. On distingue les micro interrupteurs, tant sur le dos des tiges, que sur les côtés du GPS.

Une fois le tout en place, ça ne semble pas si mal. Bon, ce n'est qu'un brouillon, il va falloir que je trouve comment faire une face plus réelle. Comment mettre les inscriptions. Ça, c'est une autre histoire.

Je vais déjà tester ainsi, et puis un jour, je me lèverais peut être avec une autre idée de génie !

J'ai déjà trouvé un petit défaut qu'il me faut régler. Le bouton poussoir. Il fonctionne trop souvent, sans même le vouloir. Il faut que je trouve un petit ressort, qui maintiendra la tige "retirée" et le fait de la tourner, n'actionnera pas involontairement le micro interrupteur du poussoir. Reste a trouver...

Enfin un peu de positif.

Mon dernier article parlait de programmation SIOC. En fait, j'étais en plein dedans afin d'activer chacun de mes interrupteurs dans FS. N'étant pas programmeur, j'ai rencontré quelques difficultés. En fait, ce n'est pas réellement la programmation des interrupteurs qui m'a créé quelques soucis, mais plutôt la programmation des témoins lumineux.
Si on regarde le train par exemple, lorsqu'il est sorti, les trois LEDs vertes correspondant à chacune des roues, sont allumées. Bon, jusque là, ça va. Le problème que je rencontrais et avec lequel je me suis battu pendant plus de 2 semaines, c'est que ces LEDs étaient allumées aussitôt FS en route, ne tenant donc pas cas de l'état de la batterie. J'avais beau activer ou non l'interrupteur Batterie, les LEDs étaient allumées.
Après avoir quelque peu modifié mon code, elles étaient toujours éteintes !
Et je ne parle que des LEDs du train, mais je rencontrais le même problème avec les LEDs des volets.
Je ne rentrerais pas dans les détails, mais je peux dire que j'en ai fais des tests, je m'en suis arraché des cheveux !! Finalement c'est simple. Mais pas évident quand on est pas programmeur.

Donc, j'ai fini par comprendre et monter un petit bout de code. Maintenant, non seulement les lumières s'allument uniquement si l'interrupteur Batterie est "ON", mais en plus, je tiens compte du voltage de la batterie. Quand bien même l'interrupteur serait sur "ON", si ma batterie est faible, mes lumières seront éteintes.

Bien, maintenant, passons au GPS. Depuis le début je sais que je vais mettre le Garmin 530, je sais comment je vais le contrôler. Mais depuis le début je fais face à un problème majeur, les boutons COM/NAV avec poussoir. J'ai enfin trouvé une solution qui semble adaptable à ma situation.
Article et photos à suivre.

Le virtuel - La programmation SIOC

Ça y'est, c'est reparti. Avec l'automne et l'hiver à nos portes, la saison du virtuel recommence. Je ne suis donc remis à mon l'avancement de mon cockpit maison. J'avais laissé le tout en veille tout l'été, et peu de choses ont bougées. Il est temps de retirer la poussière, et de se relever les manches. Je vais mettre en place le panneau de commande du pilote.
J'ai déjà fais beaucoup de recherches et de tests, sur la programmation, afin que mes interrupteurs remplissent bien leur rôle dans FS. Voici comment le tout fonctionne.

Lorsque j'avais décidé de me lancer dans l'aventure, j'avais fait l'achat de cartes Opencockpit. Ces cartes feront l'interface entre tous les interrupteurs et FS. Bien sur FSUIPC est toujours en arrière de tout cela.
Donc, il a fallut comprendre comment ça fonctionne. Croyez moi, j'ai passé plusieurs semaines pour comprendre. Ce n'est pas que ce soit complexe, mais comme toute chose, il faut un certain temps pour comprendre, surtout, lorsque personne n'est là pour vous faire un cours.
Bien, commençons par le début. je déballe le stock reçu.
- Une carte Master
- Une carte USB
- Une carte Entée
- Une carte Sortie

Il faut télécharger sur le site d'Opencockpit, le logiciel qui est la clé de toute la suite, SIOC. Il va s'installer dans C:\Program Files\IOCards\SIOC.
Il faut maintenant l'exécuter (SIOC.EXE). La fenêtre suivante va s'ouvrir.



Dans ce cas ci, nous voyons dans la section de gauche, la version (3.0) (en passant la version 4 est sortie récemment). En dessous, nous voyons que la connexion avec FSUIPC ne se fait pas. C'est normal si Flight Sim n'est pas lancé. Dans la section de droite, dans devices, nous ne voyons rien... Cela signifie que SIOC ne reconnaît pas la ou les carte USB extension.

Je connecte donc la carte USB sur un des ports de mon PC. Une fois toute la configuration faite, ne changez plus de port USB. Une carte d'extension USB peut contenir jusqu'à 4 Mastercard. Je connecte ensuite ma Mastercard, qui est pour l'instant unique, à l'emplacement voulu, soit J1.



La Mastercard possède 72 entrées qui seront reliées à différents interrupteurs de commande, et 45 sorties, permettant d'alimenter des LEDs.

Relançons maintenant SIOC, et voyons le changement.


Voilà, c'est maintenant pas mal mieux. La carte est bien reconnue, dans la section Devices, j'ai IOCardUSB device = 39. De plus, la connexion avec FSUIPC se fait bien, étant donné que j'ai démarré FSX.
Il faut prendre en note la valeur du Device Number donnée et par la suite, nous allons modifier le fichier SIOC.INI afin d'y intégrer cette valeur entre autre.
Rendez-vous donc, dans le fichier SIOC.INI. Il faut ici déclarer combien de mastercard nous avons, et comment elles sont connectées. Pour cela, il suffit de bien lire les remarques sur INI.

Dans mon cas, je vais déclarer:
MASTER=0,4,1,39
0, car je n'ai qu'une seule carte master
4, parce que j'utilise une carte USB pour connecter la mastercard.
1, afin de spécifier le nombre de master card connectée.
39, le device number donné par le programme SIOC dans la fenêtre Devices.
Si vous changez de port USB, le device number changera, il faudra alors revenir changer la valeur dans SIOC.INI
Sauvegardons notre fichier INI. Maintenant, le sérieux peut commencer.

Voici le panel control du pilote.

C'est que l'0n retrouve les commandes de la batterie, alternateurs, commande de mise en route de moteurs, lumières de navigation, train, etc...

Il me faut maintenant faire la programmation de tout cela, afin de rendre chaque interrupteur,, chaque témoin visuel (LED), fonctionnel dans FS par l'intermédiaire de la master card, SIOC, et FSUIPC. Le fun commence.

Vol de nuit

Je vous avais promis un article sur mon vol de nuit fait cet été à Montréal. Étant un homme d'honneur, je tiens mes promesses. Alors voilà.
N'ayant pas ma certification de vol de nuit, et je ne suis toujours pas sur de la faire, j'ai profité de la présence de mon ami Julien pour aller à Montréal de nuit. Nous décollons de Saint Frédéric en début de soirée. Étant donné que la nuit n'est pas encore là, je prends les commandes.

Lorsque nous arrivons aux portes de Montréal, la nuit est bien présente, et là nous allons pouvoir profiter de la vue qui est réellement splendide. Je n'ai pas encore eu la chance de faire le tour de ville de jour, mais de nuit, croyez moi, cela vaut vraiment le voyage. Certains disent que la vue avec toutes ces lumières est bien plus belle qu'en plein jour. Je ne peux donc porter jugement, mais il me fait plaisir de vous faire partager ce que nous avons vu.

Merci Julien pour ces magnifiques photos.



Dois-je encore le présenter ?


Ce stade est réellement beau, il aura fait couler tellement d'encre en tout cas. Les gens d'ici savent de quoi je parle.


L'oratoire Saint-Joseph. Magnifique.




Que de lumières !






Il est dejà temps de rentrer.

Vol d'automne

Voilà bien longtemps que je n'ai nourri mon blog. L'été passe, on vague à nos occupations, et voilà, on délaisse un peu les autres choses. Il faut dire que je n'ai que très peu volé cet été, et je n'ai absolument pas avancé dans la conception de mon cockpit. Alors aujourd'hui, je m'empresse de vous faire un petit article sur le magnifique vol que j'ai eu la chance de pratiquer ce dimanche.

Les couleurs d'automne étant d'actualité en ce moment, nous avons décidé d'aller voir un peu la magnifque région de Charlevoix. Que ce soit en été, en hiver ou en automne, cette région est vraiment spectaculaire en tout point. Le fleuve, les montagnes. Des paysages vraiment magnifiques.

Nous partons en tout début d'après midi de Saint-Frédéric, direct pour CYML Charlevoix. Nous arrivons verticale Montmagny et traversons le fleuve.


Nous pouvons admirer des milliers d'oies blanches qui comme à chaque année partent vers le sud. Bon, elles sont pas mal au sol, et nous à 3500 pieds, mais dans un sens, je préfère, j'ai pas envie d'en frapper une ou deux, et finir avec une urgence.


Nous continuons notre traversée, arrivons à l'ile aux coudres et la région de Baie Saint-Paul


Quelques instant plus trad, nous arrivons à l'aeroport de Charlevoix.


Il faisait tellement beau et chaud, que nous decidons de picniquer sur le gazon, à même l'aeroport. Très beau petit coin, vraiment une belle région.
Pour le retour, je choisi de rester sur la rive nord du fleuve, et de survoler Québec. En cette saison, il y a toujours de beaux bateaux de croisières dans le port.



Voici la basilique de Sainte-Anne.



Les chutes Montmorency



Et 2 beaux bateaux qui font escale.


Après un bref survol de la ville, je reprends ma navigation et retour pour Saint-Frédéric. Ce fut un beau vol, un bel après-midi. Ca fait du bien de reprendre le manche. Mon dernier vol ne remontait pourtant pas à bien des mois. C'était en aout, nous avions été avec mon ami julien, nous étions allés à Montréal de nuit. Je lui ai piquer quelques photos, je vais essayer de faire un petit article ces prochaines semaines.

En attendant, voici plus de photos de ce beau petit voyage automnal.
https://picasaweb.google.com/116875532925787909962/VolDAutomne#

Le Tableau de Bord

Je vous disais que j'avais un peu avancé sur la façade de mon tableau de bord côté pilote. J'ai pratiquement complété instruments :
Altimètre, HSI et Assiette.

Voici ce que cela donne



En fait, il ne me reste qu'a faire le petit dessin sur les boutons d'ajustement du HSI et de l'altimètre, et à connecter le tout sur les entrées MasterCard.
Un petit interrupteur pour choix du DME doit également être installé.
Je vais essayer de finir cela dans les prochains jours.

Construction de mon cockpit... la suite.

Ces derniers jours, bien qu'ayant mit quelques heures sur mon cockpit, cela ne parait pas véritablement. J'ai fait quelques soudures pour connecter les ajustements de mes instruments pilotes. Tels que l'ajustement de l'altimètre, le réglage pour le Cap, celui du VOR. Mais aussi la sélection du DME1 ou 2, et le RMI.

J'ai également fait quelques ajout à la face avant côté pilote. Cela n'avance pas très vite, car il faut coller, attendre que cela sèche, un peu de peinture, attendre encore que cela sèche.. Donc, bien que je travaille, je ne peux pas encore mettre des photos, montrant le résultat. Mais, si vous êtes quelque peu patient, cela ne devrait pas tarder.

J'ai aussi travaillé sur la partie programmation. C'est bien beau de mettre des ajustements et des switchs pour sélectionner telle ou telle option, mais faut qu'en arrière de tout cela, il y ait quelque chose qui parle avec FS.
Je vais prochainement publier un article complet sur la façon de procéder, et comment les cartes d'opencockpit fonctionnent. C'est un gros morceau du cockpit, et c'est aussi ce qui m'effrayait le plus ces derniers mois. Maintenant, je suis un peu plus à l'aise, je comprends un tout petit peu plus. Je suis encore bien loin de tout maîtriser, mais au moins je comprends un peu.

J'ai bien entamé la programmation du switch panel. Il reste quelques petites parties, tel que le mécanisme des gears. Mais le plus gros est fait.
D'ailleurs, une fois le panneau avant installé et connecté correctement, je me lance dans le montage du switch panel.

L'été arrive, bien que le beau temps tarde à se monter ici, avec les jours plus longs, le soleil, je vais très certainement avancer un peu moins vite sur le cockpit que ces dernières semaines. Quoi qu'il en soit, je placerai quelques article sur mon blog, au fur et à mesure.

Grosse fin de semaine

J'ai profité d'une fin de semaine de 3 jours pour avancer un peu dans mon projet. Mais j'en ai aussi profité pour faire enfin un vol réel.

Nous partons à 4 faire une petite virée à Rimouski, histoire de manger l'assiette de la marina au restaurant du même nom. Petit restaurant très sympatique à 5 minutes de marche de l'aéroport. La vue sur le fleuve est magnifique, et le repas excellent.

La météo au départ de St-Frédéric n'était pas à son meilleur, mais au moins, il faisait très beau, arrivés à Rimouski. Le vent était toutefois assez ford, mais en plein dans l'axe de la piste.

Navigation totale de 4 heures, et quel plasir de reprendre le manche après un hiver et un printemps jusqu'ici pas très favorable aux plaisirs de l'aviation.


J'ai également bien avancé sur mon cockpit.
La peinture de la face avant est maintenant complétée. Les cadrans moteurs sont eux aussi finis. La partie pilote est bien avancée, et il reste encore bien du travail côté co-pilote.
Voici quelques photos montrant l'avancement du projet.


Ca commence à ressembler à un cockpit. Mais il reste encore bien du travail.

Préparation du tableau de bord

Maintenant que le yoke est en place, il faut maintenant se préparer à monter le tableau de bord avec toutes les informations.

J'installe donc un écran plat, récupéré est réparé pour pas grand chose, côté pilote. Il servira a afficher les cadrans nécessaires à la navigation. Cet écran est branché à un PC connecté via le réseau, et via WideFs au PC principal roulant FSX. Les informations sont échangées entre les 2 PC avec FSUIPC, version enregistrée.

Au centre, c'est là que j'insère l'écran du portable. Portable que j'ai complétement demonté afin de ne garder que la carte maitresse, l'écran et le disque dur. Tout le reste ne sert plus à rien. Ce portable est connecté de la même façon que l'autre PC. Réseau et WideFS. C'est lui qui va s'occuper d'afficher les 10 cadrans des moteurs du Baron.

Enfin, à droite, j'installe finalement un dernier écran. Celui-ci est connecté sur la même carte vidéo (2ème sortie) que l'écran du pilote.
Il affichera le GPS, le transpondeur, certainement le COM2 et NAV2, puisque le GPS se charge du COM1 et NAV1.
Il y aura aussi très certainement un horizon artificiel, et un VOR, en plus de l'heure.
En fait il y a tellement de version differentes de Baron, que je peux pratiquement mettre ce que je veux.

Ca commence à prendre forme tranquillement.


Voici l'interieur. Au centre la carte maitresse du portable et au premier plan, c'est l'écran du copilote.

Il reste beaucoup, beaucoup de travail. J'ai entamé la facade avant du tableau de bord. Celle qui va cacher tout ces écrans, et ne monter que les cadrans. Avec une telle facade, l'impression de réel sera nettement améliorée.
Je vais avancer un peu cette partie, et publierai les photos aussitôt que possible.

J'ai également trouvé en faisant mes recherches sur Internet, le GPS qui sera affiché sur l'écran du co-pilote. Ce sera le Garmin 530. J'ai vu qu'avec les IO-Card d'OpenCockpit, je pouvais assigner une entrée pour actionner la commande du GPS. J'ai déjà fait mes premiers tests, et ils sont très concluants. J'ai bien hate d'être à cette étape.

Maintenant, je dois dire que les recherches et le fait de comprendre comment cela fonctionne, comment les intégrer dans le cockpit est le plus gros du travail. De ce côté, je n'ai pas de photos, mais je peux dire que je suis assez bien avancé.

Reste à mettre en action toutes ces recherches.
Bien du plaisir à venir...

Premier défi

Me voilà parti dans cette aventure qui me travaille depuis plusieurs années. J'ai fait beaucoup de recherches ces derniers temps, et j'ai trouvé de nombreuses informations me permettant de commencer et j'espère de mener à bien cette construction.

Je vous ferai part des premiers tests que j'ai réalisé afin de savoir comment j'allais faire le tout. Je ne vais vous parler que de mes avancements.

Sur la face avant de mon cockpit, il y aura 3 écrans. Le premier affichera toutes les informations nécessaires au pilote. J'ai trouvé sur Internet les gauges nécessaires et gratuites.
http://www.thegaugesfactory.org/ Elles sont très bien faites, et fonctionnent avec FSUIPC. Donc je vais avoir un poste monté en Windows XP qui pilotera ces cadrans.

Au centre, j'aurai l'écran d'un portable complètement cannibalisé, mais toujours fonctionnel ! :)

Ce sera les 10 cadrans pour mes moteurs. Et enfin à droite, un autre écran connecté au même PC que l'écran du pilote. Celui-ci devrait afficher quelques cadrans nécessaires au co-pilote, et aussi le GPS Garmin.

J'ai donc commencé ma structure afin de recevoir ce tableau de bord. Le premier défi auquel je fais face, c'est que le yoke Saitek que j'ai est trop court pour entrer dans cette structure. je dois donc allonger l'axe. Au début je voulais le changer, mais j'ai vite compris que ce n'était pas chose si simple. Alors j'ai décidé de simplement lui rajouter une petite longueur.

Dedans, il passe 26 fils. Il faut donc rallonger ces fils. Avec un peu de patience, on arrive assez facilement à réaliser cela. Ensuite, il faut trouver un axe de même diamètre afin de pouvoir remettre le yoke en place. Afin d'assembler l'axe actuel avec la rallonge, j'ai trouvé dans le rayon de la plomberie un petit bout qui fera parfaitement l'affaire.


Fils rallongés et petit tuyau permettant la connexion entre les 2 axes.


Sortie au niveau de la face avant.


Nouvel axe et le câblage en place.


Voilà le tout remonté.


On est encore loin des premiers essais.


Pas de jeu dans le manche, il réagit comme auparavant. Ça commence bien.

Maintenant, en ce qui concerne le manche du co-pilote, je n'ai pas encore travaillé et pensé à cela. Je vais y voir un peu plus tard. Mais il est vrai que je devrai y penser assez vite, car une fois le cockpit bien avancé, je ne voudrai plus le démonter pour l'installer.

Si vous avez des idées, je suis prenneur.

Retour au virtuel

Voilà bien longtemps que je n'ai publié sur mon blog. Faut dire qu'avec la météo et les grands froids, je ne vole pas durant la saison hivernale. Le manche m'ayant démangé en mars, et profitant d'une belle journée, j'ai tout de même fait un petit vol local.

Mais je ne peux rester ainsi plusieurs mois, sans voler, sans avoir un manche dans les mains. Aussi, je retourne durant cette période aux vols virtuels. Mais le fait d'avoir un écran et un yoke ne me suffisait plus. Aussi, j'ai décidé après bien des années d'hésitation, et de recherche de me lancer dans la construction de mon propre cockpit virtuel.

Cette décision n’a pas été simple à prendre. Lorsque je vois ce que certains ont conçu, je ne peux qu’être admiratif, et en même temps retissant à me lancer dans un tel projet. Serais-je à la hauteur ?
J'aime bricoler, je suis électronicien de formation, bien que cela fasse des années que je n'ai touché un fer à souder, c'est une chose que j'aime bien. Je suis en informatique depuis plus de 25 ans maintenant... bon tout cela devrait me permettre de mener à bien mon projet. Sera-t-il aussi bien que je le veux ? l'avenir me le dira. Il fallait que je prenne la décision, c'est fait. Alors maintenant, au travail.

Bien, c'est une bonne chose de vouloir construire, mais maintenant un choix s'impose encore à moi. Quel modèle faire? Au début, je comptais construire un Cessna 172. Le connaissant bien, pouvant prendre toutes les mesures nécessaires, les photos m'aidant à le réaliser, c'était un choix facile. Puis je me suis dit que si dans la réalité, je ne volais pas, c'était non seulement à cause du portefeuille, mais de la météo. Le virtuel s'appuyant sur la météo réelle, il y avait alors peu de chance pour que je ne puisse voler. Ce n'est pas non plus, l'avion le plus rapide sur le marché.
Je ne voulais pas me lancer dans un projet qui me prendrait plusieurs années à réaliser, tel un airbus ou Boeing. Ce genre d'avion est plus plaisant de piloter à 2. Je veux pouvoir voler et m'amuser seul.
Il ne me restait alors plus grands choix. Un bimoteur tel un King Air ou un Baron.
Après bien des recherches et réflexions, je me suis enfin décider à réaliser le Baron58 de Beechcraft.
Pourquoi ? D'abord Carenado à sorti il y a peu son modèle de B58 fort bien fait. Mais aussi et surtout, plusieurs ont déjà réalisé la construction de cet avion, et ont très gentiment mis bien des plans et informations cruciales à la réalisation de ce magnifique projet.

Tout est fin prêt, une nouvelle aventure commence...